Plus de 120 femmes dénoncent des comportements déviants sur la scène politique belge: «Il faut mettre fin à l’omerta»
Source: Sudinfo
Plus de 120 femmes dénoncent, dans une lettre ouverte publiée lundi dans De Standaard, des comportements déviants au sein du monde politique.
L’échevine schaerbeekoise Sihame Haddioui (Ecolo) a porté plainte l’an dernier contre son collègue échevin Michel De Herde (Défi) pour attouchements. Son expérience a incité plusieurs personnalités politiques à se mobiliser pour dénoncer ces pratiques dans une carte blanche. Parmi les signataires, on retrouve des femmes politiques bruxelloises, flamandes, wallonnes et germanophones, parmi lesquelles la vice-Première Petra De Sutter (Groen), la présidente du Sénat Stephanie D’Hose (Open VLD), Zakia Khattabi, Sarah Schlitz, Barbara Trachte ou encore Rajae Maouane.
« Nous appelons le monde politique à prendre sa responsabilité concernant la violence sexiste, sexuelle et psychologique commises par des mandataires », est-il écrit. « De nombreuses personnes doivent faire face chaque jour à ce type de violence. L’impact sur la santé ou la vie privée de la victime est indéniable. Et lorsque cette forme de violence se produit dans des lieux où des décisions doivent être prises, notre démocratie est en danger. »
Cliquez ici pour lire l’article publié par Sudinfo, le 28 novembre 2022.
Plus de 120 femmes dénoncent, dans une lettre ouverte publiée lundi dans De Standaard, des comportements déviants au sein du monde politique.
L’échevine schaerbeekoise Sihame Haddioui (Ecolo) a porté plainte l’an dernier contre son collègue échevin Michel De Herde (Défi) pour attouchements. Son expérience a incité plusieurs personnalités politiques à se mobiliser pour dénoncer ces pratiques dans une carte blanche. Parmi les signataires, on retrouve des femmes politiques bruxelloises, flamandes, wallonnes et germanophones, parmi lesquelles la vice-Première Petra De Sutter (Groen), la présidente du Sénat Stephanie D’Hose (Open VLD), Zakia Khattabi, Sarah Schlitz, Barbara Trachte ou encore Rajae Maouane.
« Nous appelons le monde politique à prendre sa responsabilité concernant la violence sexiste, sexuelle et psychologique commises par des mandataires », est-il écrit. « De nombreuses personnes doivent faire face chaque jour à ce type de violence. L’impact sur la santé ou la vie privée de la victime est indéniable. Et lorsque cette forme de violence se produit dans des lieux où des décisions doivent être prises, notre démocratie est en danger. »
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